Val-de-Marne : 2 ans d’une droite qui ne répond pas aux besoins des habitant·es

Élu à la tête du Conseil départemental du Val-de-Marne le 1er juillet 2021, Olivier Capitanio promettait un département où il fait bon vivre. Voilà désormais deux ans que la droite dirige le Département et déjà, elle s’éloigne considérablement de cette promesse.

Moins d’enfants accueillis dans les crèches départementales, moins de logements sociaux construits, moins d’action sociale, moins d’entretien dans les collèges, sur les routes, dans les parcs… Sous le prétexte confus de « faire du Val-de-Marne la référence en matière de qualité de vie dans notre région », la droite départementale assume d’autres priorités politiques et sa volonté d’un détricotage de l’action publique départementale.

La période que nous traversons, où l’inflation et les difficultés du quotidien exercent une contrainte sans précédent sur les Val-de-Marnais·es, exigerait pourtant un renfort du bouclier protecteur déployé par le Département. Alors que les demandes d’accès aux droits, notamment, n’ont jamais été si nombreuses dans les Espaces départementaux des solidarités, la majorité ne prend pas la mesure des difficultés que rencontrent nos concitoyen·nes et du rôle du Conseil départemental.

Car l’héritage politique que la droite départementale ne cesse de remettre en cause est celui d’un Département à la pointe, qui accompagne les Val-de-Marnais·es à tous les âges de la vie, et déploie des dispositifs pionniers en faveur des familles et de la petite enfance. Qui gère la moitié des crèches départementales de France ! Une action reconnue en direction des personnes âgées et en situation de handicap, qui a su s’adapter à des besoins croissants.

Depuis deux ans, notre groupe ne cesse de mettre en lumière une gestion comptable sans vision avec des effets d’annonces qui ne visent pas à satisfaire les besoins des Val-de-Marnais·es. Face à un Président qui ne consacre pas tout son temps au Département – Olivier Capitanio occupe toujours la fonction de Président de l’EPT Paris Est Marne et Bois, dont il s’était pourtant engagé à démissionner en 2021 – les élu·es communistes et citoyen·nes sont force de propositions et défendent une toute autre ambition : celle d’un Val-de-Marne écologique, protecteur et démocratique.